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Excelsior 004

Voici le dernier numéro du journal de l’Essva, « L’Excelsior ». C’est aussi le dernier sous la direction de Randy Donny car (scoop !), il vient de quitter le poste de Responsable de la filière Communication & Journalisme pour de nouveaux horizons.

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La filière COMJ vedette de la Semaine interdisciplinaire

Le stand de la filière Communication et journalisme (COMJ) se trouvait
en première ligne lors de la Semaine interdisciplinaire qui s’est déroulé à l’Essva du 22 au 27 mars 2010. C’est dire qu’il a bénéficié d’un emplacement de choix, et donc d’un abord facile pour les visiteurs qui ne pouvaient le rater.  Illustrations.

De ravissantes hôtesses ont accueilli les visiteurs au stand de la filière COMJ

Les étudiants en 2ème année de la filière COMJ étaient les seuls autorisés à vendre de la bière pendant la manifestation. Il faut signaler que l'Essva, ô rêve ultime de tout étudiant de par le monde, est le seul établissement universitaire où un bar se trouve à côté des salles de classe.

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Chasseurs de H1N1

Charline et Mirana en pleine explication devant les etudiants en Ecotourisme.

La grippe porcine n’a qu’à bien se tenir. Les étudiants en 3è année, 2009-2010, ont effectué une vaste campagne de prévention contre cette pandémie qui touce déjà plusieurs centaines de Malgaches. A Antsirabe, deux établissements scolaires ont même été fermés à cause de la maladie.

En route pour Mandoto !

Pour commencer, les étudiants se sont répartis pour sensibiliser les étudiants de chaque filière.

Mirana et Emma : filière Hôtellerie et Restauration

Charline et Seheno : Eco-tourisme

Suzanna, Tahina et Romualdine : Gestion et Management

Gaétan et Salohy : Communication et Journalisme

Désiré et Haingo : Electro-mecanique.

Jules et Nasser : Science et Technique de l’Education

Chaffi était chargé de s’occuper du personnel de l’Essva mais le jour J, tous les étudiants de la COMJ 3 étaient présents pour l’épaule.

Sur terrain, les étudiants n'ont pas hésité à y mettre des leur en dansant sur le podium pour mieux attirer l'attention de la foule entre deux sensibilisations.

Après cet « échauffement », les choses sérieuses auront lieu le 05 décembre 2009 à Mandoto, une petite localité située à 90 km d’Antsirabe.

Une semaine auparavant, un répérage a eu lieu avec Désiré (animateur), Jules (observateur) et Gaétan (rapporteur). Le groupe avait pour mission pour mission de prévenir la population cible, connaître et préparer à l’avance le lieu, chercher le groupe folklorique qui va assurer l’animation durant la séance ainsi que les membres de jury qui vont aider les étudiants lors des jeux.

Un moyen de sensibilisation par excellence : les marionnettes !

L’objectif de cette descente sur terrain est de faire connaître aux gens l’existence de la maladie et de les inviter à prendre des précautions. Les étudiants étaient sous la conduite de Stefao Etienne Raherimalala, enseignant de Communication sociale, de Communication et négociation et d’études d’impacts.

Grosse foule pour une mission accomplie !

Le Grippe A (H1N1) se propage très vite d’un individu à un autre. Son symptôme ne se manifeste que 3 ou 5 jours après la contamination. Le contaminé a une température élevée ou une fatigue générale, toux, diarrhée, vomissement, ou même douleur musculaire, etc.

Le virus H1N1 se propage entre autres par la salive, le baiser, les matériels culinaires non propres et la saleté en générale.

Précautions :

– Il faut, à chaque situation suspect, se laver les mains avec du savon ou du cendre.

-Il faut aérer la maison avec de l’air pur,

– Il faut bien dormir,

– Il faut bien manger,

– Il faut nettoyer les alentours

– Et surtout, il faut se protéger la bouche avec la main ou un linge propre quand on éternue ou quand on tousse.

L’analyse du grippe A est gratuit dans toute les centres de santé de base.

Gaëtan a.k.a Imahaka

 

Le soir en rentrant, après une journée bien remplie, le groupe a bien raison de laisser éclater sa joie. De g. à d. : Désiré, Charline, Haingo, Chaffi, Tahina, Seheno, Mirana, Suzanna, Jules, Salohy, Romy et Emma.

 

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Le nouveau numéro de « L’Excelsior » est là !

« Excelsior », le journal de l’Essva, dont la filière communication assure la rédaction, en est actuellement à sa 3ème édition. Dans ce dernier numéro, on trouve à la Une, les fondateurs de l’Essva : José Ribeaud et Mgr Félix Ramananarivo qui laisse un message en page 2, « les signes des temps 1999-2009//2009-2019, l’ESSVA c’est un signe, un symbole- l’ESSVA, c’est UNE PERSONNE »

Sinon, ce dernier numéro est consacré aux stagiaires de chaque filière qui ont soutenu leur mémoire de fin d’études en 2009 avec leurs  photos, leurs coordonnées et leurs thèmes de mémoires respectifs. Le journal met aussi l’accent sur l’inauguration du nouveau bâtiment réservé à la filière Electromécanique. En page 11, « Excelsior » publie une interview des partenaires de l’Essva, en l’occurrence Jean Claude Christe, président de la Fondation Avenir Madagascar (Fam), qui y souligne qu’il faut consolider les acquis de l’Essva par une réforme.

Ce nouveau numéro de « L’Excelsior » est sorti lors de la cérémonie de sortie de la 7ème promotion, « Mandresy»,  le 23 octobre ; une journée qui marque également le lancement des festivités pour le Xème anniversaire de l’Essva.

Mirana

Les étudiants de 2ème année vendant le journal lors de sa sortie, le 23 octobre 2009. De g. à d., Mamy, Ny Ampinga, Santatwyx et Odilon

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Après le Protocole, l’éthique

Pour la deuxième année consécutive, les étudiants en 3ème année ont bénéficié d’une formation sur l’Art protocolaire. Le quotidien « L’Express » en a parlé cette année.

Cette année justement, un autre module « diplômant » est venu s’ajouter sur la liste : « Communication et éthique », basé sur les droits de l’enfant.  Pendant quatre jours, théorie et pratique se sont succédé sous la houlette de Noroniaina, journaliste aux « Nouvelles ».

Les étudiants recevant leurs certificats. Au c., la formatrice.

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Changement climatique : tous sur le même bâteau !

Le changement climatique, voilà un thème qui inspire la jeunesse. Un petitOn fait quoi tour de table auprès des étudiants en 2ème année de la filière Communication et journalisme de l’Essva a permis de constater que tout le monde est d’accord sur un point : l’Homme est le premier responsable de la dégradation de l’environnement. « L’Homme a ccéléré le processus », précise Hasina Randriatsihoarana. Odilon Ernet Rafalimanana Andriamanomelaza, d’Ambalavao, remonte plusieurs milliers d’années en arrière pour dire que « l’Homme n’a cessé d’exploiter la nature. Or, cette insatisfaction incessante, ce besoin considérable, entraîne aujourd’hui une instabilité. D’où le problème majeur de toute l’humanité actuelle qu’est le changement climatique ».

Tout le monde connaît la litanie des conséquences de la dégradations de l’environnement, notamment ses conséquences climatiques. Mirado Andry Rabenjamina a évoqué, par exemple, les « nuages noires (black fog) qui deviennent des pluies acides »…

En ce qui concernce particulièrement Madagascar, Hantsanaina remarque « qu’il n’y a plus deux saisons qui s’alternent, le froid de l’hiver devient insupportable à Antsirabe et les grêles ravagent les récoltes pendant l’été ».

Nirina va plus loin dans ses exemples : « le 7 octobre 2009, des animaux ont péri auKenya par manque d’eau. L’année dernière, en Grèce et en Italie, la température a monté très haut. Et cette année encore , pendant la conférence sur le changement climatique, on a annoncé quel a température sur la planète terre a augmenté de 2° C depuis quelques années ».

« Le changement climatique me concerne vachement car, quelque part, il y a une part de ma responsabilité. Je suis toujours honteuse quand je voyays des gens qui détruisait des forêts sans réfléchir. C’est pourquoi, je fais des études pour avoir des compétences afin de sensibiliser les gens, surtout dans les villages », déclare Albertine Zénia Ianjasoa, d’Ambanja, avant d’ajouter : « il faut sensibiliser les villageois à s’orienter vers d’autres systèmes de cultures en leur donnant des formations ».

Marsina Stella Raharimanantsoa, de Befandriana, une petite ville enclavée du nord-ouest de Madagascar, veut mettre l’accent sur la forêt, poumon de laplanète. « Il faut un partage des connaissances scientifiques et des expériences en gestion durable des forêts. Mettre sur pied un groupe d’experts internationaux, des organisations internationales et des institutions spécialisées et autres instruments juridiques pour le secteur forestier ».

Le milieu urbain n’est pas épargné, selon Felaniaina Tsiriharijaona, qui estime que  « comme un ménage français produit des déchets de 1 kg par jour, on doit former la population à recycler et à transformer ces déchets en de choses utiles ».

« Il faut être sévère dans l’application des codes juridiques et sanctionner tout acte qui se rapporte à la destruction de l’environnement », selon de son côté Rojo Nantenaina Andriantsarahoby.

Moins coercitive, Vololomboahangy Laingotiana Raveloson, propose une solution plus pédagogique, qui doit commencer à partir de l’enseignement scolaire. Pour elle donc, il faut mettre en place « desjardins éducatifs dansles écoles. Cette activité offre un apprentissage pratique tout en développant les sens. De plus, le jardinage réclame soins et responsabilités ». Melycia Haingoniaina Rakotonindrina abonde dans ce sens en proposant de réaliser des « concours sur l’environnement auprès des jeunes et d’inclure l’environnement dans le programme scolaire ».

« Nous pouvons encore lutter pour que ce changement ne s’aggrave pas », martèle Valisoa, de Fianarantsoa. « Il paraît que le changement climatique est irréversible. Néanmoins, retarder le désastre est possible. Tout dépend de nous tous ensemble », conclut kimyboy.

Une des plus terribles conséquences du changement climatique : la fonte des glaciers !

Une des plus terribles conséquences du changement climatique : la fonte des glaciers !

Quand le bruit s’en mêle…

Miarisoa Hanitra Rakotomalala (Antsirabe) a voulu élargir le débat sur l’environnement en parlant de la pollution sonore et de ses conséquences néfastes. « Le bruit peut avoir un effet sur l’audition, explique-t-elle. Il peut provoquer une fatigue auditive, c’est-à-dire une perte provisoire de l’audition. Le bruit est aussi un facteur de stress, il entraîne une palpitation chez les gens âgés. Le bruit gêne aussi le développement du langage et l’acquisition de la lecture chez les enfants ».

Voir également les blogs de Lyva et Santatwyx.

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La filière COMJ à l’honneur de « Midi Madagasikara »

Paru dans « Midi Madagasikara » du lundi 12 octobre 2009, pp. 7, un article sur une étudiante qui vient de finir ses études à l’Essva, dans la filière Communication et Journalisme.

Midi du 12 octobre 2009

Mémoire universitaire
Midi Madagasikara à l’honneur à l’Essva Antsirabe

Tous les chemins mènent à Rome. Il arrive aussi que le chemin de Rome mène au journalisme. C’est le cas pour Fanja Angeline Rasoamarivo, religieuse par vocation et journaliste par passion. Etudiante en Communication et Journalisme à l’université privée Essva, sis à Antsirabe, elle a choisi d’analyser la Une de « Midi Madagasikara » comme thème de son mémoire de fin d’études. En fait, à travers la critique de la Une, l’impétrante a décortiqué le quotidien dans son ensemble dont la Une en est la vitrine.
« Midi Madagascar reste le journal le plus lu et le plus connu à Madagascar. Il peut affronter la concurrence grâce à la maturité de ses informations et sa régularité. Il n’est pas seulement un journal qui se limite à raconter un événement, mais surtout un journal de réflexion et de documentation ». C’est ce que Fanja Angeline Rasoamarivo a dit en substance dans le corps de son mémoire dont la qualité, mais aussi la pertinence du sujet, lui a valu la mention Très Bien.

L’université privée Essva dispose de six filières – Communication et journalisme, Gestion et Management, Hotellerie et restauration, Ecotourisme, Electromécanique, Sciences et techniques de l’éducation – et un centre de lapidairerie. Les inscriptions sont déjà en cours pour les nouveaux bacheliers, notamment pour ceux qui veulent entrer dans la filière électromécanique industrielle que seule l’université privée Essva propose. Les études durent trois ans au bout desquels les étudiants se voient délivrer un diplôme équivalent officiellement à la licence professionnelle dans la fonction publique.
La cérémonie de sortie de la 7ème promotion, baptisée « Mandresy », se tiendra le 23 octobre. Ce sera également une occasion pour lancer officiellement les festivités de commémoration du Xème anniversaire de l’Essva.
Didi R
Article Soeur Fanja

Gazetiko aussi…

Le quotidien malgachophone « Gazetiko » en a également parlé.

« Midi Madagasikara »

Natao fanadihadiana teny amin’ny ambaratonga ambony

Voarakitra ao anatin’ity voka-pikarohana ity avokoa ireo Gazetikodingana lehibe nataon’ny « Midi Madagasikara » ka nahatonga azy amin’izao toerany izao.
« Fanadihadiana momba ny pejy voalohan’ny gazety Midi Madagasikara ». Izany no lohatenin’ny karoka nataon-dRasoamanarivo Fanja Angeline, mpianatra serasera ao amin’ny Oniversite tsy miankina Essva, any Antsirabe. « Mila kaliana tsara sy alalahana ny pejy tsirairay, indrindra ny pejy voalohany. Ary amin’izao andron’ny fifaninanana mafotaka eo anivon’ny serasera izao dia mila hevi-baovao hatrany mba hampiraiki-po ny mpamaky ». Izany no anisan’ny hevi-dehibe nivoitra tao anatin’ny voka-pikarohana nataon-dRasoamanarivo Fanja Angeline. Raha ampitahaina amin’ny gazety any ivelany dia manatombo ny lohahevitra atolotry ny « Midi Madagasikara » eo amin’ny pejy voalohany satria miisa am-polony isan’andro izany raha tsy mihoatra ny dimy kosa ny an’ny « Le Monde », « USA Today » ary « The Times ». Tamin’ny 18 aogositra 1983 no nivoaka voalohany ny gazety « Midi Madagasikara ». Voarakitra ao anatin’ity voka-pikarohana ity avokoa ireo dingana lehibe nataon’ny « Midi Madagasikara » ka nahatonga azy amin’izao toerany izao dia ilay gazety mpiseho isan’andro tian’ny besinimaro indrindra. Noho ny ezaka nataony sy ny fahamendrehana manokana raiketin’ny voka-pikarohana nataony dia nahazo ny mari-pankasitrahana « Tena Tsara » (mention Très Bien ») Rasoamanarivo Fanja Angeline taorin’ny fanohanana nataony ny zoma 09 oktobra, tao amin’ny Essva. Marihina fa nanao fiofanana arak’asa teo anivon’ny gazety Midi Madagasikara nandritra ny volana maromaro izy niaina ny zava-nisy teto.
Fy

Fanjazetiko

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La promotion « Mandresy » sur les rails…

Vive la rentrée ! A l’Essva, la rentrée a coïncidé cette année avec la saison des mémoires. Du 08 au 15 octobre 2009,  ils sont 20 étudiants de la filière Communication et Journalisme à présenter leurs mémoires de fins d’études dans le cadre de la 7ème promotion dénommée « Mandresy » (winner). L’analyse des médias a tenu une place de choix dans les thèmes. Yrha a choisi de décortiquer le rôle des correspondants de presse à Antsirabe, Farakel s’est penché sur la stratégie marketing de la TVF tandis que Micramia a étudié le service de communication du Cite Ambatonakanga.
Parmi les autres thèmes notables, relevons également celui de Fanja Rasoamanarivo qui a analysé la Une du quotidien « Midi Madagasikara », Cécilia et la pertinence des images dans l’information à la TVM, et le rôle éducatif de la radio par Manampy.
Après trois années d’études, les étudiants de l’Essva obtiennent le diplôme de technicien supérieur spécialisé, reconnu officiellement par l’Etat comme l’équivalent d’une licence professionnelle.
La cérémonie de sortie de la promotion « Mendrika » aura lieu le 23 octobre 2009 dans la matinée.
Certains étudiants, bien avant de finir leurs mémoires, ont été déjà embauchés par les entreprises où ils ont effectué leurs stages, tel Raslmetal a.k.a Solofo, actuellement chroniqueur culturel au quotidien « L’Express de Madagascar » et Ryjahkanota, journaliste reporter d’images chez RTA. C’est dire que les étudiants de l’Essva sont des valeurs sûres !

De g. à d., Cécilia (ancienne première dauphine de Miss Tuléar) qui a obtenu la mention Très Bien avec un mémoire sur la Télévision nationale malagasy, Andry qui se penche sur la formation du personnel à la Sacimem et Lyva, un étudiant de la 9ème promotion dont la sortie est prévu en juillet 2011.

Entre deux séances de soutenances de mémoire, de g. à d.: Cécilia (ancienne première dauphine de Miss Tuléar) qui a obtenu la mention Très Bien avec un mémoire sur la Télévision nationale malagasy, Andry qui s'est penché sur la formation du personnel à la Sacimem et Belmondo (http://lyva.wordpress.com), un étudiant de la 9ème promotion dont la sortie est prévu en juillet 2011.

Les étudiants de la filière Communication et Journalisme de la promotion « Mandresy »

– Harisoa Sylvianne Rasolofo : « Mise en place d’une nouvelle stratégie de mobilisation sociale face à la culture de contre-saison dans le Vakinankaratra»

– Lucie Ravololonomenjanahary: « La stratégie de communication entre acteurs amont-aval des bassins versants du périmètre de colonisation 23 (Lac Alaotra) »
– Oniniaina Razafiharijaona : « La communication pour l’intégration genre dans l’éducation : cas de la commune rurale Ankadikely Ilafy »

– Sr Fanja Angeline Rasoamanarivo : « La Une d’un quotidien national « Midi Madagasikara » »
– Cécilia Jaofeno Zia Laingotiana : « La pertinence des images dans l’information. Cas de la TVM »

– Manampisoa Andriniaina Rakotovazaha : « La radio, un moyen de communication efficace pour l’éducation »
– Léa Roddine Irajanaharimanana : « Rôle de correspondant de presse, cas de CLP d’Antsirabe »
– Faraniaina Avotra Ranaivomiharisoa : « Evaluation de la stratégie marketing de TVF agence Antsirabe »

– Antsa Faniry Vololona Anjarandramary : « La publicité en vue d’améliorer l’image de marque de l’entreprise. Cas de la Caisse d’épargne de Madagascar »
– Miora Riantsoa Natacha Rakotondramavo : « Contribution au renforcement de la stratégie de lancement d’un téléphone de moyen de gamme »

– Gaëtan Sambahoelinajoro Rady : « Evaluation des supports imprimés de communication pour un changement de comportement. Cas ONN »
– Lucie Raherimampionona : « Amélioration de la gestion des ressources humaines. Cas Jirama Antsirabe »
– Pierrina Winnie Tahina Nirinamalala : « Le Fihalovana chez les Antemoro : essai sur l’influence de la communication interculturelle sur la tradition d’une société »

– Iasinivo Ramanantseheno : « Analyse de l’efficacité des canaux de communication pour l’amélioration de l’accès aux services de santé sexuelle»

– Valérie Adèle Rakotonirina : « La pratique de la communication sociale au service de la santé reproductive et du planning familial : cas de Fisa Antsirabe»

– Voniharizaka Toandromanana Rakotoarisoa : « Stratégie d’insertion des familles dans le centre d’accueil de jour Anosizato SOS Village d’enfants »
– Manantena Julie Rasoandraibe : « Communication organisationnelle dans les associations humanitaires au service des enfants en situation difficile. Cas SOS Village d’enfants Ivohitra »

– Andry Antenaina Rakotondravao : « La formation du personnel, un facteur essentiel de développement pour l’entreprise. Cas de la Sacimem »
– Sololalaina Randriarimanana : « La communication interne au sein de la commune urbaine d’Antsirabe »
– Andriantsoa Michel Ramiaramanana : « Le responsable de communication en tant que manager de processus de communication. Cas du Cite Ambatonakanga »

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Un mémoire en Communication sociale a l’honneur de la presse

Midi KalonyCela fait toujours plaisir de voir un mémoire faire l’objet d’un article de presse. Comme c’est le cas ici dans « Midi Madagasikara ». L’impétrant en question est rftdoudha, un élément du Foko Blog club Vakinankaratra. Avec son licence professionnel en poche, il escompte poursuivre ses études à l’étranger, Canada ou France.

Société
Sécurité rurale
Le « kalony », objet d’une recherche à l’Essva

Le mot « kalony » vient du français colonne. S’agit-il d’une réminiscence de ces colonnes de soldats envoyés par Gallieni pour pacifier l’île au début de la colonisation ou tout simplement du pilier, pieu ou encore poteau ? Le débat est ouvert. En tout cas, le « kalony », tel qu’on l’entend actuellement, désigne un concept d’autodéfense villageoise institué dans la région Sud-Ouest dont la mission est la protection des biens et des personnes. Dans ce sens, il se pose comme le pilier de la communauté. Homologué par le Tribunal de première instance de Tuléar le 6 août 2008, le « Kalony » sert l’intérêt général en faisant appel aux hommes valides de 18 à 50 ans à s’organiser pour lutter contre toutes formes de vol, en particulier le vol de bovidés, mais également la lutte contre les feux de brousse et la lutte antiacridienne. Le « Kalony » dispose d’un règlement intérieur, d’un bureau composé d’au moins 13 membres et d’une autonomie financière assurée principalement par les amendes et autres pénalités.
Le « Kalony » vient de faire l’objet d’un mémoire de fin d’études à l’université privée Essva, sis à Antsirabe. Actuellement, tous les 1562 fokontany de la région Sud-Ouest (Tuléar) disposent d’un « Kalony ». Or, d’après une enquête dirigée par l’impétrant, Fanomezana Tianarivelo Ralaivao, 71,30% de la population locale ignorent encore ce qu’est le « Kalony » ! Constat : il existe un manque manifeste de communication. Ce à quoi l’impétrant a suggéré des solutions, axées sur la mise en place d’une cellule de communication régionale dont les actions prendront en compte les concept-clés de la communication participative tout en incluant l’institution d’un contrat d’impacts entre l’administration et la communauté de base. Le jury a accordé la mention Très Bien à l’impétrant qui obtient ainsi son diplôme de Technicien supérieur spécialisé en communication, équivalent de la licence professionnelle, après trois ans de formation après le bac. Inauguré en décembre 1999, l’Essva Antsirabe s’apprête actuellement à commémorer avec faste ses dix ans d’existence. En dix ans, environ 400 étudiants issus des filières Communication et journalisme, Ecotourisme, Electromécanique, Gestion et Management, Sciences et techniques de l’éducation et Hôtellerie et Restauration, ont terminé avec succès leurs études à l’Essva. Ils se donneront certainement rendez-vous à Antsirabe le 23 octobre pour fêter le jubilé de l’établissement.
D. R.

Kalony

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